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Mettre a jour les plugins dotclear automatiquement

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Méthode fastidieuse

La dernière mise à jour de Dotclear m’a posé des problèmes concernant quelques plugins qui ne marchaient plus. J’ai dû alors les mettre à jour un par un. C’est assez fastidieux, car il faut comparer les versions des plugins installé avec celle disponible sur DotAddict, et dans certains cas faire la mise à jour à la main.

Méthode automatique

Il existe en fait une astuce pour mettre à jour automatiquement tous les plugins. Cette astuce n’est rien d’autre qu’un plugin, nommé daInstaller. Ce plugin permet en fait de naviguer dans DotAddict depuis l’interface d’administration de son blog. Ainsi, on peut :

  • Installer de nouveaux thèmes
  • Installer de nouveaux plugins
  • Être au courant des mises à jours disponibles
  • Faire les mises à jour en un clic.

C’est essentiellement les deux derniers points qui m’intéressent. A noter cependant que le plugin ne peut pas se mettre à jour lui-même. Il faudra donc penser, de temps à autre, à faire la mise à jour de celui-ci à l’ancienne.

Notepad++ affiche « Loads langs.xml failed! »

Il arrive parfois que Notepad++ ne marche plus très bien, et affiche lors de son lancement Loads langs.xml failed!. Pour corriger cette erreur, c’est assez simple :

  1. Aller dans le répertoire d’installation de Notepad++. (Souvent C:\Program Files\Notepad++)
  2. Effacez le fichier langs.xml
  3. Copier le fichier langs.model.xml
  4. Renommer la copie en « langs.xml« 

C’est tout !

Utiliser Steam sur un réseau bridé

Introduction

Le principe va être d’établir une connexion chiffrée vers l’extérieur du réseau, sur un serveur SSH. Ensuite, nous allons grâce à PuTTY établir un tunnel entre l’ordinateur et ce serveur distant. Enfin, SocksCap permettra de rediriger les connexions sortantes de Steam vers l’entrée de notre tunnel… connexions qui ressortirons de l’autre côté, là où ça ne sera pas bridé !

Pré-requis

  1. Avoir un accès à un serveur SSH
  2. Avoir le logiciel PuTTY
  3. Avoir installé le logiciel SocksCap

Serveur SSH

Il est nécessaire d’avoir un serveur SSH sur lequel on puisse se connecter. Celui-ci devrait évidemment être situé dans un réseau qui n’est pas bridé, sinon nous n’arriverons pas à sortir de la « prison » dans laquelle nous somme. Pour les réseaux qui sont très contraignant et qui empêchent d’utiliser le port 22 (c’est celui du SSH), on peut alors ruser en utilisant le port 443.

Ce port est en effet celui du SSL, et est utilisé notamment pour les connexions web sécurisées (HTTPS) sur les sites bancaires, PayPal, eBay, etc. Pour que le daemon SSH écoute sur le port 443, il faut alors modifier le fichier de configuration /etc/ssh/sshd_config et modifier la ligne Port 22 par Port 443. Vous pouvez très bien lancer le daemon SSH sur deux ports à la fois. Dans ce cas, dans le fichier de configuration il faudra écrire :

Port 22
Port 443

En cas de changement du fichier de configuration, n’oubliez pas de redémarrer le service ! La commande

/etc/init.d/ssh restart

fera l’affaire !

PuTTY

PuTTY est un logiciel pour Windows ne requérant aucune installation ni droits administrateur. Il va permettre de se connecter à notre serveur SSH et surtout de construire le tunnel qui permettra alors de faire plus ou moins ce que l’on veut.

Dans la partie Session de PuTTY, il faut tout d’abord indiquer l’hôte ou l’IP du serveur SSH auquel on souhaite se connecter. Ici, pour l’exemple, je l’ai appelé « mon.serveur.ssh.fr« . Dans la case à côté il faut indiquer le port. Par défaut, c’est le port 22, mais si vous optez pour la technique décrite dans le paragraphe précédent, il faut alors mettre 443.

Ensuite, dans la partie Connection > SSH > Tunnels, il faut à nouveau saisir l’adresse du serveur SSH dans le champs Destination, puis renseigner le port. Par défaut, 1080 ira très bien. Si vous changez ce port, il faudra alors l’indiquer à SocksCap dans la partie suivante. N’oubliez pas d’indiquer que le tunnel est dynamique !

Si tout est parfait, vous devriez avoir le même résultat que ci-dessous en cliquant sur Add.

Il ne reste plus qu’à cliquer sur Open et saisir son identifiant ainsi que son mot de passe dans la fenêtre noire qui apparaîtra.

SocksCap

Ce logiciel (soufflé par Clément, merci à lui !) permet de choisir une application et de forcer la redirection de ses connexions. Le gros défaut de ce petit logiciel est qu’il ne supporte pas les versions 64 bits de Windows 7. Heureusement, un autre logiciel nommé Super Socks5cap est lui compatible. Ce dernier est malheureusement une version d’évaluation de 30 jours et un peu plus compliqué à manier.

Je décrirais ici la méthode pour utiliser SocksCap, il faudra l’adapter pour Super Socks5cap qui est tout à fait similaire.

Tout d’abord, il faut indiquer dans les préférences que le serveur à joindre (l’entrée du tunnel) est sur la machine courante et que le port est 1080. La machine courante s’appelle « localhost » ou 127.0.0.1. Le port est celui indiqué dans PuTTY à la dernière étape lors de la création du tunnel.

Ensuite, il suffit d’ajouter Steam dans la liste des applications qui doivent être gérées par SocksCap. Cliquez sur New et aller chercher avec le bouton Browse l’exécutable de Steam. Les autres champs se rempliront automatiquement.

Maintenant, dans la liste, vous avez Steam et son icône.

Il suffit dorénavant de lancer Steam en cliquant sur Run. Durant l’attente, je vous conseille de réciter quelques prières ou de faire des danses ancestrales, ça peut aider (ou pas). Normalement, Steam se lance et vous avez accès à toutes les fonctionnalités. Cela va vous permettre de faire les mises à jour de Steam ou de vos jeux alors que vous êtes sur un réseau limité.

Ne vous attendez pas cependant a des débits extraordinaires !

Free Hugs à Poitiers le 5 juin 2010

Après l’apéro Facebook début avril qui avait réuni près d’un millier de personnes à Poitiers (et dont l’organisatrice a reçu la facture salée, parait-il), une autre initiative a été lancé, toujours via le réseau social Facebook.

Cette fois, pas d’alcool ni de chips, mais des câlins gratuits ! Sébastien, qui a créé l’évènement sur Facebook, a déjà convaincu une centaine de personnes à venir se rassembler Place d’Armes à 14h30, à Poitiers. Le but du rassemblement est d’offrir des accolades aux passants, et ce gratuitement (je sais pas qui pourrait payer, de toute façon).

Reste à savoir combien de personnes seront présentes, et comment les passants réagiront. Pour ça, il faudra être sur place pour le voir 🙂 !

Facebook : être prévenu lorsque quelqu’un pirate votre compte

Une nouvelle fonctionnalité est disponible dans Facebook, et permet de recevoir des notifications par e-mail lorsque l’accès à votre compte se fait à partir d’un ordinateur inconnu. Cela permet par exemple de savoir que l’on se fait pirater son compte, et dans ce cas, en réagissant vite on peut encore changer son mot de passe.

Activer les notifications

Il faut aller dans les paramètres du compte, et cocher la case dans la catégorie Sécurité du compte.

Enregister sa (ses) machines

Il faut tout d’abord se déconnecter de Facebook. Lorsque l’on va s’y reconnecter, nous allons tomber sur le fenêtre suivante :

Il suffit alors de saisir le nom de la machine. Entre temps, vous allez recevoir un e-mail de Facebook vous informant de la connexion à votre compte depuis votre ordinateur : la notification marche bien. Cochez la case si vous êtes sur une machine que vous utilisez régulièrement, sinon vous recevrez un e-mail à chaque connexion…

Gérer les machines

Il suffit d’aller encore une fois dans les paramètres du compte, et de cliquer sur Sécurité du compte. Cette fois, mon ordinateur apparait dans la liste, et je peux le retirer à tout moment. Notez qu’il est utile de donner un nom explicite à la machine, pour savoir si c’est celle du bureau ou pas par exemple.

(Source : mashable.com)

Voir le contenu d’une page sur Facebook sans en devenir fan

En se plaçant sur la page où l’on demande à devenir fan pour voir la devinette / image / etc (de merde, bien souvent, soyons franc), il suffit de saisir ce petit code Javascript dans la barre d’adresse du navigateur :

javascript:(function(){var spans=document.getElementsByTagName('span');for(var i=0;i<spans.length;i++){spans[i].style.visibility='visible';}})();

Et pouf ! Notez que vous pouvez utiliser le lien FB : fan pour le bookmarker dans votre navigateur préféré !

Remettre les boutons dans la barre d’adresse de Nautilus

La version 10.04 d’Ubuntu, intitulée Lucid Lynx, intègre la version 2.30.0 de Nautilus. Or, dans ce dernier, le bouton qui permettait de passer la barre d’adresse du mode « bouton » au mode « édition » a tout simplement disparu, et le mode « édition » est par défaut activé.

Pour revenir à l’affichage avec des boutons, qui est bien plus rapide pour remonter de plusieurs répertoires d’un coup, il faut alors de saisir dans un terminal :

gconf-editor /apps/nautilus/preferences/always_use_location_entry

Dans la fenêtre de l’éditeur de configuration, il suffit alors de décocher la ligne always_use_location_entry.

Nautilus devient alors similaire à la capture suivante :

Notez qu’il est toujours possible de revenir à la barre d’adresse textuelle en tapant le raccourci clavier ctrl + L.

PHP : Guide de survie PostgreSQL pour l’utilisateur MySQL

Interface d’administration

Tout utilisateur de MySQL a déjà utilisé le très connu PhpMyAdmin. L’équivalent pour PostgreSQL s’appelle tout simplement PhpPgAdmin et est disponible à cette adresse pour ceux qui l’utilisent chez Free.

Il faut déplier tout l’arborescence dans le menu latéral gauche (et passer une identification) pour arriver à une vue similaire à PhpMyAdmin.

L’interface permet de créer des tables. Pour faire un identifiant « auto-increment« , il faut laisser le type « serial » proposé par défaut. Le type « varchar » de MySQL semble équivalent au type « character ».

J’ai noté aussi quelque chose de surprenant : un champ dans la base de données de type Booléen va renvoyer une chaine « t » ou une chaine « f » pour respectivement « true » ou « false« . Je m’attendais à true / false directement ou à la rigueur 0 / 1, mais bon…

Connexion à la base de données

Une première chose à faire pour savoir comment manipuler une base de données PostgreSQL en PHP est d’aller sur la documentation. À l’instar de la fonction mysql_connect(), il existe une fonction pg_connect() mais avec une subtilité. En effet, il faut se servir d‘un seul argument pour préciser l’hôte, l’utilisateur et le mot de passe.

pg_connect("host=sql.free.fr dbname=toto user=toto password=firefox");

Ainsi, la ligne ci-dessus permet de se connecter au serveur PostgreSQL de Free avec l’identifiant « toto » et le mot de passe « firefox ».

Envoyer une requête

Cela peut paraître quelque chose de très anodin, mais envoyer une requête SQL n’est pas si simple. En effet, que choisir entre ces fonctions :

Il n’y a pas de réponses miracles : cela dépend de ce que vous voulez faire. Le mieux est encore de lire la documentation et surtout les exemples associés à chacune d’elles. Pour ma part, je trouve que pg_query() fait une bonne alternative à mysql_query() (avec ses défauts)

Elle offre l’avantage de s’écrire de la même façon, y compris le code SQL (heureusement qu’il est commun aux deux SGBD). Veillez toutefois à protéger correctement vos requêtes des injections SQL, en utilisant pg_escape_strings() par exemple, qui est l’équivalent de mysql_real_escape_string().

Notez que pg_query() peut retourner false. Dans ce cas, on peut se servir de pg_last_error() pour récupérer un message d’erreur. Malheureusement, je n’ai pas trouvé comment récupérer uniquement un code d’erreur, à la manière de mysql_errno(). Si un utilisateur plus confirmé peut donner la solution en commentaire, ça serait parfait.

Petite subtilité pour les champs auto-increment : alors qu’avec MySQL il suffit de laisser ce champ vide lors d’une requête SQL de type INSERT, il faut la spécifier avec PostgreSQL. Le mot-clé pratique est alors nextval, et s’utilise avec le champ que l’on veut incrémenter. On trouvera son nom dans l’interface web PhpPgAdmin.

Exemple d’insertion avec MySQL :

INSERT INTO news VALUES('', 'Ma super news', 'Guilou chante du zouk');

La même requête en PostgreSQL :

INSERT INTO news VALUES(nextval('news_id_seq'::regclass), 'Ma super news', 'Guilou chante du zouk');

Récupérer les résultats

En utilisant pg_query(), vous pouvez utiliser pg_fetch_array() à la manière de mysql_fetch_array(). D’autres fonctions pratiques vous seront peut-être utiles, telles que pg_num_rows() ou pg_affected_rows().

Conclusion

Arrivé à ce stade, on se rend bien compte que passer de MySQL à PostgreSQL n’est pas difficile. Il suffit presque de remplacer « mysql_ » par « pg_ » dans chaque appels de fonctions. La documentation PHP à le mérite d’être bien rédigée, et de permettre de comprendre rapidement comment arriver à ses fins.

Dans le cas où vous êtes en difficulté, vous trouverez surement un peu d’aide sur le chan IRC #postgresqlfr sur Freenode. (Hop, lien direct)

Ajouter un lien vers Twitter dans Dotclear

Pas de secret : il va falloir modifier du code. Il faut donc savoir se servir d’un éditeur de texte ainsi que d’un client FTP.

L’extension est finalement assez simple, nous allons devoir modifier qu’un seul fichier, situé dans plugins/partager2/ et nommé _public.php. Il suffit alors de l’ouvrir avec son éditeur de texte préféré, au niveau de la ligne 58, et de la remplacer par quelque chose similaire à :

($w->twitter ? '<a style="'.$css_a.'background: transparent url('.$base_url.'pf=partager2/img/sprite_partager2.png) no-repeat 0 -677px;" href="http://twitter.com/home?status=Guilou.fr : '.$titre_billet.' -> '.$lien.'" title="Twitter"></a> ' : '').

Notez que l’on peut personnaliser comme on le souhaite le message. Pour mon cas, cela affichera « Guilou.fr : « , puis le titre du billet,  » ->  » et le lien vers celui-ci. C’est surement améliorable (passer par un réducteur d’URL par exemple, etc) mais cela me convient déjà largement. Vous pouvez tester le lien sur cette page, colonne de droite !

On sauvegarde, on met à jour sur le site et c’est bon !

Journée du libre à Poitiers, le 10 avril 2010

L’association APP3L organise le samedi 10 avril 2010 la journée du libre au Confort moderne. Le programme extrait du site :

L’Association Poitevine pour la Promotion de Linux et des Logiciels Libres (APP3L) organise une « journée du libre » le 10 avril 2010 au Confort Moderne de 10h à 19h.

Cette journée sera l’occasion pour le public de : découvrir le monde du libre (logiciels, culture, droit) au travers différentes activités (stands, ateliers, panneaux d’information, animateurs), discuter avec des associations à portée locale de villes environnantes (Poitiers, Angoulème, Tours, Bressuire, etc.), se distraire (jeux, conférences, démonstration, musique), etc.

Programme :
— à partir de 10 h : conférences (sujets d’actualité), concerts acoustiques, démonstrations (robotique, cartographie, bureautique, graphisme), jeux libres, aide à l’installation de logiciels et systèmes libres (le public peut amener sa machine*) ;
— à 17 h 30 : concert rock (Les Féelarsen)…

Les visiteurs sont invités à apporter un gâteau ou spécialités à déguster sur place dont ils partageront la recette… Une façon d’appliquer le leitmotiv de la journée : le partage, la convivialité, les licences libres… Une buvette sera également disponible.

Il y aura également une conférence sur OpenStreetMap que j’attends avec impatience !